Et voilà, l’ADN a parlé.
L’ADN permet désormais de cibler les origines ethniques dont chacun est issu. Pour ma part, avec le nombre conséquent d’implexes et une localisation prononcée dans le Cambrésis, il était fort à parier que mes origines allaient se concentrer sur l’Europe de l’Ouest. Les résultats sont fidèles à ce qui était attendu :
65,8 % d’Europe du Nord et de l’Ouest
15,5 % de la péninsule ibérique
11,3 % d’Italie
7,4 % d’Angleterre
Au final, aucune trace de vikings ou encore de l'Est de l'Europe. A ce jour, je n’ai pas trouvé d’ascendants espagnols, italiens ou anglais. Nul doute que ces origines sont bien antérieures aux registres qui nous permettent de composer notre arbre. A titre de précision, l’Europe du nord et de l’Ouest comprend la France, le Bénélux, la Suisse et l’Allemagne.
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